Laetitia Largen, 18 ans, est étudiante en L.A.S (Licence avec Option Santé) à l’Université Paris-Créteil dans le Val-de-Marne. Elle vit sa seconde année de mentorat avec Anne-Frédérique Ghuysen, marraine et ambassadrice Capital Filles. Son ambition : travailler dans l’industrie pharmaceutique, section recherche. Témoignage sur un super matching !
Pourquoi t’es-tu inscrite dans le programme Capital Filles ?
J’ai assisté à l’atelier de présentation de l’association pendant ma terminale, l’année dernière. Cela m’a donné envie d’être épaulée par une marraine pour affiner mes choix d’orientation, surtout que j’étais un peu perdue au début. J’ai toujours été soutenue par ma famille, mais avoir le soutien de quelqu’un d’extérieur, c’est un vrai plus.
Comment s’est passée la rencontre avec ta marraine ?
Nous nous sommes rencontrées pour la première fois dans mon lycée. Cela m’a beaucoup rassurée d’apprendre qu’Anne-Frédérique avait un profil scientifique. Comme elle était pharmacologue chez Sanofi, j’ai compris qu’elle pourrait m’aider dans mon projet professionnel. A l’époque, je savais que je voulais étudier dans le domaine scientifique, mais j’hésitais entre des études courtes ou longues.
Quels conseils ta marraine t’a-t-elle donné pour te soutenir dans ton orientation vers le domaine médical ?
Elle m’a donné la possibilité de visiter une division de recherche Sanofi et de discuter avec ses collègues. Je me suis rendue compte que c’était la recherche qui m’intéressait, donc que je devais entreprendre des études longues.
Après, mes choix ont été plus simples pour Parcoursup. Ma marraine m’a aidée à rédiger ma lettre de motivation et mon CV, elle a soutenu mes choix de formations. Pendant les épreuves du bac, elle m’a épaulée dans les moments de stress.
Aussi, j’ai eu plus confiance en moi : le fait que quelqu’un que je ne connaissais pas me soutienne et croie en moi, ça m’a fait du bien !
Que conseillerais-tu à des lycéennes qui se trouvent dans le même cas que toi l’année dernière ?
Si elles sont en manque de confiance ou pas assez entourées, je leur dirais de foncer rejoindre l’association. Sur un plan personnel, c’est bénéfique pour renforcer leur assurance. Si elles doutent de leur choix professionnel, les marraines pourront les aider à s’imposer dans le monde du travail.
Capital Filles nous aide à nous intégrer dans des métiers toujours qualifiés de “métiers d’hommes” à l’origine de l’hésitation de certaines filles, à vaincre les stéréotypes, à montrer de quoi nous sommes capables !